Série de questions/réponses à laquelle a participé Cheykh 'Abdel 'Aziz Ar-Rajihi. Le choix s'est porté sur celle-ci car les sujets relatifs à la conception de la foi et de la mécréance y sont traités de manière simple et concise. Ce thème étant primordial et faisant partie de la bonne croyance qu'un musulman doit avoir, il était important de proposer un ouvrage répondant aux exigences des gens de la Sounnah. En effet, de nos jours beaucoup de personnes sont tombées dans un extrême par peur d'un autre extrême, à l'image de ceux qui adoptent des idées d'une tendance appelée "al mourji'a" voulant par cela s'éloigner des "khawarij", et inversement. Or, le juste milieu des gens de la Sounnah a toujours été la meilleure voie empruntée par nos pieux ancêtres.

La composition poétique de la Bayqûniyya résume en une trentaine de vers les principes de la terminologie du hadith. Le commentaire traduit et présenté ici est celui de l'éminent cheikh al-'Uthaymîn. Ce livre est un support idéal pour toute personne désirant en savoir davantage sur la noble science du hadith.

Cet ouvrage montre comment chacun d'entre nous peut purifier son âme en faisant la prière. L'auteur nous montre l'importance qu'avait la prière au yeux du Prophète (sws). La prière est source de paix et de bonheur, mais pourquoi? Ici, l'auteur nous l'explique.

Dans cette épître, L'imam, le cheikh de l'islam Muhammad Ibn 'Abd al-Wahhâb a regroupé quatre principes et cité leurs preuves dans le Livre d'Allah (exalté soit-Il) et la sunna de Son Prophète . Quiconque maîtrise ces principes et les comprend est alors en mesure de ne pas confondre les choses et de ne pas être en proie aux équivoques ; les égarements et les faussetés des hérétiques et des déviants ne l'affecteront aucunement.

Diplômé en sciences du hadith et en théologie islamique à l'université de Médine, et titulaire d'un doctorat à l'université de Yale, le Dr. Yasir Qadhi est sans doute l'un des prédicateurs les plus célèbres du monde anglophone.

L’hypocrisie est une maladie désastreuse, une perversion grave et un mal qui se répand. Si l’homme n’aime pas être hypocrite, il peut tomber dans l’hypocrisie à son insu, notamment celle dite pratique ou mineure.

La remise en question est l’usage des croyants, le signe des monothéistes et l’emblème des humbles. Le croyant craint son Seigneur, se remet en question et implore le pardon pour ses péchés.

L'imam Ibn Al-Qayyim a dit : "Les êtres humains, sans même parler des autres créatures, sont à la recherche de ce qui procure plaisir, confort et vie heureuse.

Lors du Voyage Nocturne et de l'Ascension, le Messager de Dieu fut transporté physiquement depuis la Mosquée Sacrée jusqu'à la Mosquée Lointaine à Jérusalem sur un animal nommé Al-Burâq, en compagnie de l'Archange Gabriel.

L'homme, par nature, aime polémiquer, débattre et montrer aux autres qu'il a raison et qu'il détient la vérité. C'est un défaut de l'âme car en principe, le croyant cherche l'agrément de son Créateur et non pas les regards des créatures. Il doit donc combattre ce défaut pour le remplacer par la modestie, l'humilité et surtout la sincérité.

D'innombrables millions de musulmans prient Dieu cinq fois par jour : "Guide nous vers le droit chemin, le chemin de ceux à qui Tu as accordé Tes bienfaits". Ainsi, chacun d'eux invoque le Créateur au nom de tous les hommes et des femmes qui sont prêts à croire en Lui, et pas seulement au nom de lui-même seul : consciemment ou inconsciemment, un musulman qui récite ces paroles de la sourate initiale du Coran demande à Dieu de montrer le chemin de la justice et de la droiture à toute la communauté dans son ensemble.

Nous trouvons certains musulmans de nos jours qui se désintéressent et négligent la prière, au point de la délaisser de manière totale. Etant donné que ce sujet fait partie des grands points importants par lesquels les gens sont éprouvés de nos jours et que les savants de la communauté et ses imams, anciens comme contemporains, ont divergé à son propos, j'ai trouvé bien d'écrire à ce sujet ce qui m'en a été facilité.

Crainte et espoir - Abu Hamid Al Ghazali. La crainte et l'espérance (AI-khawf wa ar-Rajâ') sont les deux ailes qui permettent aux Rapprochés (Muqarrabûn) de prendre leur essor jusqu'aux stations sublimes. Elles sont pareilles à deux montures qui permettent de franchir les voies menant à l'au-delà et de passer tout obstacle difficile et épineux. 

Nul doute que le but du Musulman sur terre est différent de celui des autres gens. La vie est courte et passe vite. Ce plus, que temps que nous pouvons consacrer à Dieu devient encore plus court quand on sait que des années entières de notre existence sont absorbées par le sommeil, le travail, les déplacements, etc. Comment donc pouvoir rivaliser avec les nations précédentes en termes de bonnes actions si le temps nous manque ?

Ibn Rajab Al-Hanbalî a dit : « Le terme Sunna désigne la voie empruntée et il comprend l'attachement à tout ce sur quoi étaient le Prophète (pbsl) et ses Califes bien guidés comme croyances, œuvres et paroles. C'est cela la Sunna complète, et c'est pourquoi les pieux prédécesseurs n'utilisaient le terme Sunna que pour désigner ce qui englobait tout cela. » (Jânif Al-'Ulùvi wû-l-Hikam).

Cet ouvrage a pour titre « le Tawhîd bénéfique à l’état pur »,il a été écrit par l’imâm Taqî-dîn Ahmed ibn `Alî el-Maqrîzî (mort en 845 H). Ibn Hadjar el-`Asqâlânî a noté, entre-autre, dans Inbâ el-Ghoumr qu’il était un imâm expérimenté, compétent, que sa compagnie et son discours étaient agréables.