Quand j'étais Sorcier: Le récit stupéfiant de Daoud le sorcier yemenite repenti
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Après des années de pratique assidue de la sorcellerie, Daoud farhane, célèbre sorcier yéménite décide de mettre un terme à sa carrière, suite à un rêve qu'il prit pour un avertissement divin.
Mais sa retraite fut loin d'être paisible et ses anciens alliés devinrent ses pires ennemis.
Le prix du repentir de Daoud fut certes très élevé, mais il n'en est que plus admirable et son histoire encore plus passionnante et riche d'enseignements.
Après quelques années de pratique assidue de la sorcellerie, Dawoud Farhane, célèbre sorcier yéménite, décide de mettre un terme à sa carrière, suite à un rêve qu'il prit pour un avertissement divin. Mais sa retraite fut loin d'être paisible et ses anciens alliés devinrent ses pires ennemis. Le prix du repentir de Dawoud fut certes très élevé, mais son repentir n'en est plus qu'admirable et son histoire encore plus stupéfiante, plus passionnante et riche d'enseignements. Ce livre est un indispensable pour qui veut comprendre la gravité de la sorcellerie et les dégâts qu'elle peut causer dans la vie d'une personne. L'histoire de ce sorcier repenti est une leçon pour tout un chacun, il est donc à mettre entre toutes les mains.
Le récit des derniers jours de l’empire ottoman est un sujet d’une actualité tragique à plus d’un titre : d’abord, parce que les frontières qui en sont issues, des Balkans au Proche-Orient, notamment à travers l’infâme accord Sykes-Picot, ont été la cause de bien des maux, passés et présents, d’autant que le vide béant du califat, socle fondamental de la civilisation islamique, n’a jamais été comblé par la suite ; ensuite, parce que cette phase de l’Histoire est peut-être la plus symptômatique d’une certaine attitude géopolitique du monde occidental qui n’a eu de cesse, à travers les siècles, de chercher à démembrer et diviser le monde musulman autant qu’il était humainement possible de le faire...
Les Sauveurs de l'esprit islamique du cheikh Abû al-Hasan 'Ali al-Nadwî, célèbre savant et penseur indien, auteur de nombreux ouvrages, est une ode à l’optimisme, un espoir dans le désespoir et une démonstration d’héroïsme.
"L'Histoire est toujours contemporaine" écrit le philosophe Benedetto Croce. Elle nous livre les expériences positives et négatives de la vie des hommes et des femmes et constitue un guide idéal pour s'en inspirer.
Ar-Rahîq Al-Makhtûm ( L'Ultime Joyau de la Prophétie) n'est ni un concis ni une œuvre détaillée à l'extrême, mais un livre précis, détaillé et complet. Très accessible, c'est le livre de Sîra à posséder. Nouvelle édition revue, augmentée et annotée, avec des cartes
Le tome III de Saladin et l'anneau magique vient clore un premier cycle d'aventures riche en événements et en rebondissements. En remontant le temps à la rencontre de l'histoire, Saladin nous accompagne dans une odyssée passionnante qui nous permet de revivre d'importants événements historiques comme si nous y étions en plus de nous interroger sur ce qui fait notre identité aujourd'hui.
« Ecrire un livre sur cette histoire, c’est donner de la profondeur historique à un ancrage de l’islam et des musulmans en France. » Tout d’abord, il faut rappeler que l’histoire a toujours gêné les identitaires de tout bord. Ils veulent créer des cloisons et des frontières entre les individus…
Après des décennies d’absence, voici enfin une nouvelle traduction du Journal d’un musulman Allemand de Murad Wilfried Hofmann. Pertinent orateur et conférencier prolifique, Murad Hofmann a été trois décennies durant un brillant diplomate, directeur de l’information à l’OTAN, clôturant sa carrière comme Ambassadeur d’Allemagne. Mais au-delà de sa riche carrière diplomatique, Murad Hofmann a surtout été un extraordinaire « Ambassadeur de l’islam » depuis sa conversion en 1980. Sa contribution à la compréhension et à la transmission du message universel de l’Islam a représenté un immense enrichissement au débat intellectuel en Europe.
Des premiers pas de Târiq ibn Ziyâd sur le sol du Vieux Continent, aux dernières expulsions de Morisques, le Roman des Andalous déroule une fantastique épopée de 900 ans de présence musulmane en Europe au fil des soubresauts de l’Histoire et des renversements de fortunes, des conquêtes et des exils, des triomphes et des désastres. Un conte de guerres et d’ambitions qui s’entrechoquent, donc, mais aussi d’échanges, de rencontres, de vagues d’idées, de biens et de peuples, à la croisée des civilisations, des identités, des continents ;
Après notre ouvrage phare sur la biographie de "Â'ishah notre mère, le choix de la biographie de Khadîjah s'est imposé à nous de lui-même.
Le récit d'une vie exceptionnelle, d'une femme hors du commun, la meilleure femme, au cours de la meilleure génération :Khadijah, mère des croyants et épouse du noble Prophète Muhammad (saw).
Etienne Dinet, célèbre peintre français converti à l'islam, écrivit en 1918 son chef d'œuvre « La vie de Muhammad ». Ce livre bénéficia d'un financement public accordé en souvenir de la fraternité d'armes entre soldats musulmans et non-musulmans durant la Grande Guerre. Cet encouragement n'empêcha pas la critique, puisqu'un certain nombre d'orientalistes lui reprochèrent son approche trop religieuse.
Comment l’Islam s’est-il propagé ? Comment a-t-il si profondément gagné le cœur de tant de nations autrefois chrétiennes, zoroastriennes ou païennes ? Quelles ont été les méthodes employées par les missionnaires de la foi du Prophète, quels sont les éléments de cette dernière qui ont tant séduit les peuples, et quels sont les autres facteurs – socio-culturels, politiques, économiques, religieux – entrés en jeu dans cet extraordinaire phénomène historique ? Telles sont les questions auxquelles Thomas W. Arnold tente de répondre dans cet ouvrage, proposant ainsi ce qui est sans doute la première étude systématique et académique du sujet réalisée par un auteur occidental.
Yusuf ibn Tashfin. Archétype du souverain musulman juste et valeureux, au point que d'aucuns le qualifièrent de " sixième calife bien-guide" incorruptible, proche de ses hommes et des oulémas, gestionnaire avisé et fin diplomate au pardon facile, il était l'antithèse du despote. Idéologue en armes, homme d'Etat vertueux et ascète, bâtisseur d'empire et chef de guerre…
Sous l'interrogation pessimiste "Vivre ensemble ou pas", ceux qui veulent en prendre le temps trouveront la possibilité d'accéder à l'univers de pensée de l'une des victimes de la vaste campagne islamophobe en cours. Ils pourront mesurer sereinement les limites d'accusations inextricablement engluées dans la pratique d'amalgame. Ils pourront prendre, au regard des faits et non de l'interprétation sélective et spécieuse, la mesure de l'exceptionnelle fragilité du discours supposément académique dont le pouvoir s'est emparé pour légitimer sa désolante incursion sur les terres longtemps réservées à l'extrême-droite.
L'accès aux archives a permis la publication des rapports consacrés par les polices coloniales à Malek Bennabi. Leurs contenus confirment le bien-fondé de ses thèses sur "La lutte idéologique". À son arrivée au Caire en 1956, il était intrigué par les rumeurs persistantes, la désinformation malveillante et les confusions calculées le concernant. Fidèle à son habitude de relier "l'événement et l'histoire", il mit ces compagnes persistantes en rapport avec ce qu'il savait sur les méthodes machiavéliques qu'utilisait le colonialisme contre tout ce qui le menaçait, comme les manipulations qui mirent en échec le Congrès Musulman Algérien de 1936..
C'est à une passionnante et poignante aventure que nous invite l'auteur, Najib al Kilânî, dans ce roman intitulé Layâli Turkestan en arabe que nous avons choisi d'intituler « L'histoire des Ouïghours » afin que le grand public se penche sur un roman qui, très tôt déjà, alertait l'opinion sur la triste histoire subie par les Ouighours entre les années trente et les années cinquante.
Étienne Dinet écrivit en 1918 une biographie de la vie du Prophète Muhammad (saw) à la demande du ministère des Armées, en hommage « à la mémoire des musulmans morts pour la France lors de la grande guerre ». Pour la réaliser, avec son ami Sliman Ben Ibrahim, ils s’appuyèrent essentiellement sur les sources islamiques et non sur les travaux des islamologues. Leur méthodologie entraîna de vives réactions de la part. des orientalistes, auxquelles ils répondirent dans un second ouvrage intitulé L’Orient vu de l’Occident ...