LES SIGNES DE LA FIN DES...
La croyance au Jour Dernier est l’un des piliers de la foi et un dogme essentiel en Islam. Cette croyance implique d’avoir foi aux signes qui précéderont l’Heure et annonceront son arrivée imminente.
Sache qu'il ne fait aucun doute que la prière est une félicité pour ceux qui aiment Allah, une jouissance de l'ame pour les monothéistes, un jardin pour les dévots et un plaisir de l'esprit pour les humbles.
Sur tous vos achats
Dès 50€ d'achat
Sous 14 jours
Sache qu'il ne fait aucun doute que la prière est une félicité pour ceux qui aiment Allah, une jouissance de l'ame pour les monothéistes, un jardin pour les dévots et un plaisir de l'esprit pour les humbles.
C'est à l'aune de la prière que les gens sincères examinent leur foi, elle sert d'étalon aux itinérants [sur le sentier d'Allah].
Ainsi, la prière est une miséricorde d'Allah offerte à Ses serviteurs croyants.
Ibn Al Qayyim | Ibn Rajab | A. Al Badr
La croyance au Jour Dernier est l’un des piliers de la foi et un dogme essentiel en Islam. Cette croyance implique d’avoir foi aux signes qui précéderont l’Heure et annonceront son arrivée imminente.
Les penseurs musulmans ont pris soin de réfléchir sur la situation de la communauté musulmane et de leurs affaires.
Ils ont été préoccupés énormément par ce point et ont beaucoup réfléchi sur les raisons de la faiblesse des musulmans, de leur retard face à leurs ennemis et des causes de leur division et leur divergence et des causes de la domination des ennemis sur eux à tel point que certains d’entre eux ont colonisé leurs pays.
Plus qu’une noble qualité, la piété est une obligation en islam. Les Prophètes et Messagers l’ont tous recommandée à leurs peuples. La piété est la meilleure provision pour l’au-delà et ce qui distingue les croyants les uns des autres auprès d’Allah.
Dans son cheminement vers son Seigneur, le musulman oscille entre la crainte et l’espérance, la crainte que ses œuvres ne soient pas agréées et d’être châtié à cause de ses péchés, et l’espérance d’être guidé, de voir ses œuvres acceptées et ses péchés pardonnés.
Allah a créé l’être humain de telle façon que trois éléments le composent : un corps, une âme et un esprit.
Pour trouver le véritable repos, l’homme doit trouver le parfait équilibre entre ces trois éléments constitutifs de son être.
La foi comporte deux parties : la gratitude et la patience. Celui qui est exigeant envers lui-même, veille au salut de son âme et fait prévaloir son bonheur ici-bas et dans l’au-delà ne négligera pas ces deux éminents fondements.
Sache que les péchés constituent un voile masquant le Bien-Aimé. Or, il est obligatoire de s'écarter de tout ce qui éloigne du Bien-Aimé.
"L'Histoire est toujours contemporaine" écrit le philosophe Benedetto Croce. Elle nous livre les expériences positives et négatives de la vie des hommes et des femmes et constitue un guide idéal pour s'en inspirer.
Le thème de l’éthique, de la moralité et du bon comportement est fondamental et aujourd’hui plus que jamais nécessaire. Il est au centre de la pratique véritable de l’islam.
Les nombreux mérites que contient le mois de Ramadan en font un mois exceptionnel dans la vie du Musulman et un rendez-vous à ne pas manquer pour quiconque veut tirer profit de la bénédiction du Ramadan, des grâces et vertus du jeûne ainsi que de la prière nocturne qui est célébrée en commun dans les mosquées en ce mois.
Voici un aperçu des mérites et bienfait du mois de Ramadan, à la fois un rappel et un appel à atteindre le but ultime pour lequel le jeûne nous a été prescrit : la piété.
C'est une évidence pour tous de nos jours, la communauté musulmane vit une crise de la spiritualité. On est passé à côté de l'essentiel pour se focaliser sur ce qui l'est moins. Beaucoup ont échoué dans leur cheminement, soit par l'exagération, soit par le laxisme. Mais notre véritable échec est de ne pas nous en rendre compte qu'au-delà de toutes nos préoccupations, il nous incombe d'obtenir l'amour et l'agrément d'Allah. La véritable pratique est celle du cœur qui induit alors celle des membres : la spiritualité.
Cet ouvrage comporte 3 sujets :
- La croyance de Mohammed Ibn Abd Al Wahhab (Lettre aux gens de Qasîm)
- Commentaire sur la base de l'Islam et son fondement de Cheick Abd Ar Rahman Ibn Hassan Al Ash Shaykh
- Quatre règles qui distinguent le musulman du polythéisme de Muhammad Ibn Abd Al Wahhab
L’orgueil est une grave maladie de l’âme. Il constitue une dérive éthique qui égare l’homme de la voie droite et de la vérité vers les chemins de la ruine et du mal. Ses conséquences ici-bas et dans l'au-delà sont désastreuses, puisque l'orgueil nuit à la relation du serviteur avec son Seigneur, avec ses coreligionnaires et avec l'ensemble de la société.
Bienheureux est celui dont l'âme trouve plaisir dans la vertu et les bonnes œuvres, fuyant le vice et les péchés. Malheureux est celui qui trouve plaisir dans le vice et les péchés, fuyant la vertu et les bonnes œuvres.
Les pieux prédécesseurs sont les hommes ayant le mieux compris et appliqué la religion. Soucieux d'accomplir tout acte de bien, nombre d'entre eux délaissaient de ce bas monde ce qui leur serait inutile pour l'au-delà. Cet ascétisme leur permit de parvenir à une grande proximité du seigneur. Ignorée ou incomprise, délaissée ou mal appliquée, ce grand principe de l'islam a donné lieu à plus d'un ouvrage. Al-Bayhaqî en a écrit un incontournable. Il y a compilé les meilleures citations et les plus beaux récits. Le voici entre vos mains.
Après des années de pratique assidue de la sorcellerie, Daoud farhane, célèbre sorcier yéménite décide de mettre un terme à sa carrière, suite à un rêve qu'il prit pour un avertissement divin.
Mais sa retraite fut loin d'être paisible et ses anciens alliés devinrent ses pires ennemis.
Le prix du repentir de Daoud fut certes très élevé, mais il n'en est que plus admirable et son histoire encore plus passionnante et riche d'enseignements.
Sache qu'il ne fait aucun doute que la prière est une félicité pour ceux qui aiment Allah, une jouissance de l'ame pour les monothéistes, un jardin pour les dévots et un plaisir de l'esprit pour les humbles.