LETTRE À CEUX QUI ONT PERDU...
CE LIVRE S’ADRESSE A VOUS SI : vous avez perdu un être cher à vos yeux vous cherchez à apaiser votre chagrin et voulez trouver des moyens pour patienter durant cette épreuve.
La profession de foi des gens de la sunna, ouvrage simple et complet, tente le pari difficile de répondre aux différentes types de questions théologiques que peuvent se poser élèves, maîtres, parents ou grand public.
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La 'Aqîda Tahâwiyya (La profession de foi des gens de la sunna), de l'imam At-Tahawiyy, Traduit et commenté par : Corentin Pabiot
La profession de foi des gens de la sunna, ouvrage simple et complet, tente le pari difficile de répondre aux différentes types de questions théologiques que peuvent se poser élèves, maîtres, parents ou grand public.
Aux élèves des Instituts islamiques, ce livre permet de maitriser les notions théologiques, et d’en percevoir l’importance.
Aux parents, il donne le moyen de faire le lien entre la théologie traditionnelle, celle qu’ils ont apprise au cours de leur vie, et les analyses plus précises qui sont présentées à leurs enfants dans les instituts.
Aux maîtres, il permet de comprendre la raison de certaines différences dogmatiques et de coordonner leur enseignement de la théologie avec les grands principes du sunnisme authentique.
Enfin, à tous ceux qui se posent des questions sur cette religion universelle qu’est l’Islam, La profession de foi des gens de la sunna apporte des réponses efficaces et pratiques.
CE LIVRE S’ADRESSE A VOUS SI : vous avez perdu un être cher à vos yeux vous cherchez à apaiser votre chagrin et voulez trouver des moyens pour patienter durant cette épreuve.
Majmou' At-Tawhîd est le regroupement de nombreux livres (12 épîtres) du Shaykh Muhammad Ibn 'Abd Al-Wahhab, qu'Allah lui fasse miséricorde. Ces livres ont pour sujet le pilier le plus important de l'Islam que tout musulman se doit d'apprendre : l'unicité d'Allah (At-Tawhîd)
La foi comporte deux parties : la gratitude et la patience. Celui qui est exigeant envers lui-même, veille au salut de son âme et fait prévaloir son bonheur ici-bas et dans l’au-delà ne négligera pas ces deux éminents fondements.
L'insouciance est un terrible fléau et une maladie qui corrompt la religiosité et la vie de la personne. Le musulman se doit de constamment se rappeler son Seigneur. Il existe plusieurs moyens pour y arriver, comme le dhikr, la récitation du Coran, le rappel de la mort…
Les bienfaits d'Allah sont nombreux. La connaissance de la religion fait partie des meilleures choses que le croyant peut acquérir et les mérites et les vertus du savoir sont multiples. Allah dans Son Livre fit les éloges des hommes dotés de science, et il ordonna ceux qui ignorent, de consulter et d'interroger les gens du savoir.
La prière est le plus grand pilier de l’Islam après les deux attestations de foi. C’est l’œuvre la plus importante pour le serviteur.
Elle est la colonne vertébrale de l’Islam, au point que l’acceptation des autres œuvres dépend de l’acceptation de la prière. Ainsi, si elle est rejetée, les autres œuvres seront rejetées.
Dieu a choisi des hommes parmi Ses créatures pour être Ses Messagers, il s’agit des Prophètes. Il a en outre élu Muhammad Alayhi Salat Wa Salam et en a fait le sceau des Prophètes et a élu des hommes et des femmes pour qu’ils soient ses Compagnons, qui l’ont soutenu de son vivant et ont perpétué sa tradition après sa mort.
« Le 1er juillet 1888, j’ai eu l’occasion d’assister à une conférence faite par monseigneur le cardinal Lavigerie à l’église Saint-Sulpice de Paris.
Série de questions/réponses à laquelle a participé Cheykh 'Abdel 'Aziz Ar-Rajihi. Le choix s'est porté sur celle-ci car les sujets relatifs à la conception de la foi et de la mécréance y sont traités de manière simple et concise. Ce thème étant primordial et faisant partie de la bonne croyance qu'un musulman doit avoir, il était important de proposer un ouvrage répondant aux exigences des gens de la Sounnah. En effet, de nos jours beaucoup de personnes sont tombées dans un extrême par peur d'un autre extrême, à l'image de ceux qui adoptent des idées d'une tendance appelée "al mourji'a" voulant par cela s'éloigner des "khawarij", et inversement. Or, le juste milieu des gens de la Sounnah a toujours été la meilleure voie empruntée par nos pieux ancêtres.
L’orgueil est une grave maladie de l’âme. Il constitue une dérive éthique qui égare l’homme de la voie droite et de la vérité vers les chemins de la ruine et du mal. Ses conséquences ici-bas et dans l'au-delà sont désastreuses, puisque l'orgueil nuit à la relation du serviteur avec son Seigneur, avec ses coreligionnaires et avec l'ensemble de la société.
« À l’époque du Prophète (paix sur lui), les gens venaient de tribus Arabes et de villages lointains. De petits groupes de chaque ville et village acceptaient l'Islam et apprenaient ce qui leur était obligatoire. Puis, ils retournaient vers leurs tribus, leur enseignaient l’Islam et la foi conformément à ce que le Prophète (paix sur lui) leur avait appris.
En cette vie d'ici-bas, même un seul atome de bien accompli avec sincérité est accepté ; mais dans l'Au-delà, tout l'or du monde ne sera plus d'aucune utilité.
Comment les musulmans de notre époque peuvent-ils maintenir un lien spirituel avec Allâh ? Comment construire des communautés saines fondées sur la bienveillance et l’entraide ? En tant que croyants, quel doit être notre rapport avec l’argent ? Comment relever les grands défis auxquels la Oumma est confrontée aujourd’hui ?
Cet excellent ouvrage nous livre de précieux conseils pour profiter du mois béni de Ramadân mais surtout de comprendre et d'en saisir les bienfaits, sa particularité et son importance. Bien qu'étant court, il nous enseigne comment accueillir de la meilleure manière ce mois, de même que garder une constance tout le reste de l'année.
"Il nous est ordonné demander pardon, car chaque année nous répétons les mêmes erreurs envers ce mois béni. Ainsi, quelques jours avant son arrivée, nous exhortons notre âme et prenons toutes sortes d'engagements : " Je ferai cela, je prierai la nuit, je clôturerai la lecture du Qu’An à plusieurs reprises, je ferais de nombreuses aumônes..." Puis lorsque vient le mois de Ramadân et que ces premiers jours s'écoulent, nous échouons, nos volontés disparaissent.
La mission de la femme musulmane d'aujourd'hui prend sa source dans cette grande responsabilité qui lui est inhérente. Les différents aspects de la vie sont imbriqués, ses sentiers sont difficiles à pratiquer.
L'amour d'ici-bas est à la fois un vice et une souffrance. Un vice qui ouvre la porte à tous les excès, à l'insouciance et à l'oubli de ce qui compte vraiment ici-bas et dans l'au-delà, et une souffrance parce que cet amour - trop souvent démesuré - trouble l'ordre des priorités de celui qui en est épris.