![](https://villagemuslim.com/692-large_default/le-roman-reformiste-musulman-d-expression-francaise-en-algerie-1919-1939-nadhim-chaouche-heritage-editions.jpg)
LES PÉCHÉS CAUSENT LA RUINE...
On le sait tous, la vie n'est pas toujours rose. Certes, on connaît tous le bonheur à un moment ou à un autre. Mais cela ne dure pas éternellement.
La littérature algérienne d'expression française de la première moitié du vingtième siècle a été sortie de l'oubli et du mépris par Abdelkader Djeghloul.
Sur tous vos achats
Dès 50€ d'achat
Sous 14 jours
Les romanciers de cette époque, dont Mohammed Ould Cheikh l'auteur de Myriam dans les palmes (1936) -, apparaissent aujourd'hui comme les pionniers d'une élite qui n'a pas hésité dans "la nuit coloniale" à s'opposer sans concession à la doctrine assimilationniste de la politique coloniale (pensée raciale, indigénat, théorie de la fusion des races) et à affirmer son attachement sans nuances à l'identité arabo-musulmane. Leur refus de monnayer leur silence, malgré toutes les tentations, leur coûtera une longue marginalisation et une stigmatisation âpre.
Nadhim CHAOUCHE est titulaire d'une licence d'enseignement en langue française (université d'Oran) et d'un magistère en culture populaire (université de Tlemcen). Il est également titulaire d'un doctorat soutenu en 2019 sur la « Construction identitaire en contexte d'assimilation à travers le roman algérien francophone 1900 -1950.
250 Pages
On le sait tous, la vie n'est pas toujours rose. Certes, on connaît tous le bonheur à un moment ou à un autre. Mais cela ne dure pas éternellement.
Quelle que soit notre situation en cette vie, que nous vivions une vie d’épreuves ou de confort, notre inévitable destin est le même : la vie de ce bas-monde n’est que temporaire.
Nous présentons aux lecteurs francophones la traduction de Mouqaddimatu-r-Risālah,livre de référence chez les malikites, commentée par le Ch. ʿAbdu-l-Mouẖsin al-ʿAbbad.
Série de questions/réponses à laquelle a participé Cheykh 'Abdel 'Aziz Ar-Rajihi. Le choix s'est porté sur celle-ci car les sujets relatifs à la conception de la foi et de la mécréance y sont traités de manière simple et concise. Ce thème étant primordial et faisant partie de la bonne croyance qu'un musulman doit avoir, il était important de proposer un ouvrage répondant aux exigences des gens de la Sounnah. En effet, de nos jours beaucoup de personnes sont tombées dans un extrême par peur d'un autre extrême, à l'image de ceux qui adoptent des idées d'une tendance appelée "al mourji'a" voulant par cela s'éloigner des "khawarij", et inversement. Or, le juste milieu des gens de la Sounnah a toujours été la meilleure voie empruntée par nos pieux ancêtres.
La plupart des gens se plaignent du malheur quand il survient, plus que de raison. Ce n’est pas tant le fait de se plaindre qui est à blâmer, mais plutôt l’exagération et l’attitude adoptée, qui revient à s’opposer au destin divin. Ceci n’est dû qu’à la faiblesse de la foi et à l’obsession pour cette vie ici-bas. Cette épître concise est adressée à tout croyant éprouvé comme une consolation à son malheur. Elle lui apprendra comment se consoler face à l’épreuve.
64 PAGES
Sache que la partie la plus noble d’une personne est son cœur. Celui qui connaît Allah, œuvre pour Lui, lutte pour Lui, se rapproche de Lui et découvre ce qui est auprès de Lui, ses membres ne font que suivre son cœur qui les utilise comme les rois utilisent leurs esclaves. Ainsi, celui qui connaît son cœur connaîtra son Seigneur.
La connaissance d’Allah ainsi que celle de Ses plus beaux Noms et de Ses sublimes attributs constitue l’objectif de la quête humaine. C’est la meilleure, la plus digne, la plus noble et la plus éminente des sciences.
Ce livre est une traduction en français de l’ouvrage de Shaykh Ṣāliḥ ibn Fawzān ibn ʿAbdillāh al-Fawzān (المُلَخَّصُّ فِي شّرْحِ كِتَابِ التَّوْحِيدِ)Le sujet de ce livre est de clarifier le concept du Monothéisme qu’Allah a enjoint à Ses serviteurs et qui est la raison pour laquelle Il les a créé. Il explique également le concept de ce qui s’oppose catégoriquement au Monothéisme, à savoir le polythéisme majeur, ou ce qui s’oppose à sa perfection — ce qui en est obligatoire et ce qui en est recommandé — parmi le polythéisme mineur et les bida
C'est une évidence pour tous de nos jours, la communauté musulmane vit une crise de la spiritualité. On est passé à côté de l'essentiel pour se focaliser sur ce qui l'est moins. Beaucoup ont échoué dans leur cheminement, soit par l'exagération, soit par le laxisme. Mais notre véritable échec est de ne pas nous en rendre compte qu'au-delà de toutes nos préoccupations, il nous incombe d'obtenir l'amour et l'agrément d'Allah. La véritable pratique est celle du cœur qui induit alors celle des membres : la spiritualité.
Le thème de l’éthique, de la moralité et du bon comportement est fondamental et aujourd’hui plus que jamais nécessaire. Il est au centre de la pratique véritable de l’islam.
La méditation est la clé des lumières, le début du discernement, et l’outil des sciences et des connaissances.
Plus qu’une importante œuvre du cœur, c’est l’une des meilleures adorations. La plupart des gens connaissent son mérite, mais ignorent sa quintessence et ses fruits, peu d’entre eux méditent et réfléchissent.
Les pieux prédécesseurs sont les hommes ayant le mieux compris et appliqué la religion. Soucieux d'accomplir tout acte de bien, nombre d'entre eux délaissaient de ce bas monde ce qui leur serait inutile pour l'au-delà. Cet ascétisme leur permit de parvenir à une grande proximité du seigneur. Ignorée ou incomprise, délaissée ou mal appliquée, ce grand principe de l'islam a donné lieu à plus d'un ouvrage. Al-Bayhaqî en a écrit un incontournable. Il y a compilé les meilleures citations et les plus beaux récits. Le voici entre vos mains.
L’hypocrisie est une maladie désastreuse, une perversion grave et un mal qui se répand. Si l’homme n’aime pas être hypocrite, il peut tomber dans l’hypocrisie à son insu, notamment celle dite pratique ou mineure.
Cet excellent ouvrage nous livre de précieux conseils pour profiter du mois béni de Ramadân mais surtout de comprendre et d'en saisir les bienfaits, sa particularité et son importance. Bien qu'étant court, il nous enseigne comment accueillir de la meilleure manière ce mois, de même que garder une constance tout le reste de l'année.
"Il nous est ordonné demander pardon, car chaque année nous répétons les mêmes erreurs envers ce mois béni. Ainsi, quelques jours avant son arrivée, nous exhortons notre âme et prenons toutes sortes d'engagements : " Je ferai cela, je prierai la nuit, je clôturerai la lecture du Qu’An à plusieurs reprises, je ferais de nombreuses aumônes..." Puis lorsque vient le mois de Ramadân et que ces premiers jours s'écoulent, nous échouons, nos volontés disparaissent.
« Le 1er juillet 1888, j’ai eu l’occasion d’assister à une conférence faite par monseigneur le cardinal Lavigerie à l’église Saint-Sulpice de Paris.
C'est une évidence pour tous de nos jours, la communauté musulmane vit une crise de la spiritualité. On est passé à côté de l'essentiel pour se focaliser sur ce qui l'est moins.
Beaucoup ont échoué dans leur cheminement, soit par l'exagération, soit par le laxisme.
Mais notre véritable échec est de ne pas nous en rendre compte qu'au-delà de toutes nos préoccupations, il nous incombe d'obtenir l'amour et l'agrément d'Allah.
La véritable pratique est celle du cœur qui induit alors celle des membres : la spiritualité.
La littérature algérienne d'expression française de la première moitié du vingtième siècle a été sortie de l'oubli et du mépris par Abdelkader Djeghloul.