![](https://villagemuslim.com/1552-large_default/la-croyance-des-4-imams-muhammad-al-khumayyis-editions-al-hadith.jpg)
L'ESCLAVAGE AU POINT DE VUE...
« Le 1er juillet 1888, j’ai eu l’occasion d’assister à une conférence faite par monseigneur le cardinal Lavigerie à l’église Saint-Sulpice de Paris.
les fondateurs de ces quatre écoles (Abû Hanîfa, Mâlik, al-Shâfi‘î et Ahmad) étaient tous d’accord sur le plan des fondements de la religion et de la croyance.
Sur tous vos achats
Dès 50€ d'achat
Sous 14 jours
On parle souvent des quatre écoles juridiques et des divergences jurisprudentielles qui les opposent. Néanmoins, on laisse de côté un point essentiel: les fondateurs de ces quatre écoles (Abû Hanîfa, Mâlik, al-Shâfi‘î et Ahmad) étaient tous d’accord sur le plan des fondements de la religion et de la croyance.
En analysant leurs œuvres, on constate clairement qu’ils professaient la même doctrine, ils suivaient la même voie, leur parole n’en formait qu’une seule et aucune divergence ne les opposait dans le domaine de la croyance.
Tous leurs propos, tous leurs écrits convergent vers une même conception du credo, comme si elle ne provenait que d’une seule et même personne.
Y a-t-il une preuve de la vérité plus évidente que celle-ci ?
« Le 1er juillet 1888, j’ai eu l’occasion d’assister à une conférence faite par monseigneur le cardinal Lavigerie à l’église Saint-Sulpice de Paris.
La voie du musulman décrit avec amples détails tout ce qui a trait à la foi musulmane, au comportement que doit observer le musulman, à la pratique cultuelle ainsi qu’aux transactions. C’est le livre que doit avoir tout musulman soucieux de bien pratiquer et vivre sa religion.
Ceci est la traduction du livre de Muhammad Ibn 'Abd-Al-Wahhâb, Ledévoilement des ambiguïtés autour du Tawhîd, avec les commentaires pertinents de Ibn Bâz.
La littérature algérienne d'expression française de la première moitié du vingtième siècle a été sortie de l'oubli et du mépris par Abdelkader Djeghloul.
Quelle que soit notre situation en cette vie, que nous vivions une vie d’épreuves ou de confort, notre inévitable destin est le même : la vie de ce bas-monde n’est que temporaire.
Ce livre se veut être un guide pratique, exposant de manière simple les rites, les règles, les interdits, les permissions, les dérogations, tout en donnant également accès aux sagesses et origines des rites, et montrant les choses telles qu'elles sont à l'heure actuelle, afin que le pélerin puisse pleinement tirer profit de son pélérinage.
La figure du cheikh Al Islam Ibn Taymiyyah est souvent réduite par certains de ses adeptes ou de ses détracteurs à un formalisme rigide et à un fiqh superficiel.
Ce livre est digne d'être enseigné aux étudiants dans les écoles en raison du grand bien qu'il contient. De taille modeste, il recèle cependant des enseignements grandement bénéfiques.
L’union entre les musulmans est à la fois une obligation religieuse et l’un des plus importants objectifs de l’islam. Si l’union fait la force, elle participe donc également de la foi.
La satisfaction est l’acte du cœur le plus important et le plus fondamental.
Par cet acte, le serviteur peut atteindre une station surpassant celle de ceux qui épuisent leur corps dans l’accomplissement des bonnes œuvres, alors que les actes du premier sont moindres que ceux des autres.
Sache que ce bas monde est un ensemble constitué de certains éléments qui existent pour être profitables aux gens.
Plus qu’une noble qualité, la piété est une obligation en islam. Les Prophètes et Messagers l’ont tous recommandée à leurs peuples. La piété est la meilleure provision pour l’au-delà et ce qui distingue les croyants les uns des autres auprès d’Allah.
L'imam Ibn Al-Qayyim a dit : "Les êtres humains, sans même parler des autres créatures, sont à la recherche de ce qui procure plaisir, confort et vie heureuse.
J’ai fini par me rendre compte que l’espoir excessif, l’absence de crainte d’Allah et le fait de se bercer d’illusions sont des maladies qui ont contaminé le cœur des gens. Le traitement de ces maladies ne passe donc que par la médecine de l’intimidation et de la dissuasion.
C'est une évidence pour tous de nos jours, la communauté musulmane vit une crise de la spiritualité. On est passé à côté de l'essentiel pour se focaliser sur ce qui l'est moins. Beaucoup ont échoué dans leur cheminement, soit par l'exagération, soit par le laxisme. Mais notre véritable échec est de ne pas nous en rendre compte qu'au-delà de toutes nos préoccupations, il nous incombe d'obtenir l'amour et l'agrément d'Allah. La véritable pratique est celle du cœur qui induit alors celle des membres : la spiritualité.
Ô toi qui retarde son repentir en raison de son espoir illusoire d’une longue vie, tu disais : « Je me repentirais lorsque mes cheveux seront gris. ». Or, voilà qu’ils le sont. Les mois d’été sont passés.
les fondateurs de ces quatre écoles (Abû Hanîfa, Mâlik, al-Shâfi‘î et Ahmad) étaient tous d’accord sur le plan des fondements de la religion et de la croyance.